L'écriture de Laurine Rousselet résiste durablement à une lecture de surface (ou même adverse) en ces Séquelles ou suites de vers, mais aussi de corps à corps souffrants, par refus de
toute prose signifiée ou vécue : ce qu'il en reste est ici le poème de la douleur subie transmué en traces vives, nues, à vue « d'euil ».
Jude Stefan